Les désordres relationnels liés aux défauts d’intégrité et au déficit identitaire du à la contrepartie négative de la polarisation positive. ( bon courage! )
Afin de comprendre et d’intégrer certains mécanismes pour s’en prémunir intelligemment et assurer sa posture dans un sens évolutif, il est nécessaire de percevoir et de savoir dans un premier temps qu’il existe une forme d’induction magnétique ou électromagnétique agissante et produisant des effets plus ou moins directs ou collatéraux par l’action de la propagation d’ondes scalaires et d’une force d’énergie radiante, se diffusant et communicant entre certaines sources biologiques ou subtiles, susceptibles de s’échanger de l’information, modulée sous la forme d’ondes semblables à des ondes radios mais bien supérieures en terme de vitesse et de restitution énergétique vibratoire.
Et il faut savoir ainsi que l’énergie ne se perd pas et qu’elle ne disparait pas et que l’énergie se diffuse et que la vibration ne craint pas les murs et se poursuit ( verticalement ou longitudinalement ) pour entrer en contact sur son passage et son rayonnement avec des systèmes et interagir et établir avec eux des liens de communications plus ou moins subtils et conscients et qu’il existe aussi certaines formes de vie subtiles qui coexistent, subsistent et se nourrissent de l’émanation de ces vibrations radiantes.
Et que le cerveau – organe réflectif – est un récepteur transformateur et ré-émetteur qui produit lui même une certaine quantité et qualité d’ondes scalaires, diffusées sur des milliers de kilomètres et capables de communiquer vibratoirement à la vitesse de la lumière avec d’autres systèmes émetteurs/récepteurs d’ondes radiantes y comprit avec notre propre contrepartie éthérique, au delà des plans d’incarnation.
Une fois que ce principe d’énergie électromagnétique radiante est dés-occulté et remis à la perception de la conscience donc su et intégré comme principe agissant; il est possible d’observer le comportement de ces ondes dans la matière et leurs effets à plus ou moins longue portée et d’appliquer ce principe et de l’observer à l’œuvre dans des thématiques diverses et dans des situations ordinaires et quotidiennes afin de rencontrer le réel qui s’y produit et d’en relever l’information directe avec le minimum de subjectivité, y comprit dans le cadre relationnel.
Il faut donc savoir en général que lorsque nous parlons et faisons référence aux processus des mécanismes inconscients, en réalité nous parlons d’une charge énergétique qui se déplace et s’exprime – souvent en décalage de la perception consciente – à un endroit inattendu et créant de la surprise par une manifestation décalée, de la charge vibratoire radiante inconsciente qui dans un premier temps est tenue – par des mécanismes d’occultation – hors du champ de perspective de l’observateur/expérimentateur.
Ainsi il peut exister plusieurs sources de décalage venant créer un déficit d’instantanéité entre la vibration réelle et l’expression du comportement, générant certains conflits intérieurs et extérieurs dus à ces charges radiantes toujours agissantes mais occultées.
Et notamment par les multiples expressions de la transe extatique du cœur ego, directement influencé par les mémoires et les mouvements des forces astrales de l’âme expérimentale terrestre et par le conditionnement de la « spiritualisation de la relation », il peut exister par exemple une contrainte morale introjectée et parasitante dans le système mémoriel qui peut induire un certain refoulement des instincts et de la vibration, susceptible de créer un rejet profond de l’intuition, au bénéfice de la croyance d’un bien plus grand que le réel qui serait priorisé automatiquement sur ce dernier.
Et ces mécanismes dérivatifs sont souvent les garants protecteurs de la structure égotique et d’un maintient de la psyché et de ses compensations par des postures de caractères se voulant maladroitement réparatrices mais involutives et issues de blessures et de croyances et créant par des biais cognitifs, des automatismes poussant dans un certain sens, vers une certaine inclinaison et dans certains schémas relationnels dysfonctionnels, en général très fidèles aux engrammes originaux de la mémoire imprimée dans le champ de domaine de la psycho-affectivité.
« Il faut être gentil », » tu es méchant », « il faut être dans l’amour »… autant d’injonctions qui peuvent entrer en conflit avec la véritable nature d’information vibratoire et la création de l’identité et qui sont susceptibles d’être enfouies avec culpabilité dans l’inconscient et de créer des dommages importants dans le système tant sa persistance et sa continuité sont réelles.
Ce qui peut induire dans cette situation pour exemple – car il est très répandu – une habitude désajustée et une seconde nature créée à partir du déficit identitaire initial souvent pour acheter une paix illusoire et recevoir l’attention; sans créer de dommage liés à un positionnement identitaire strict pouvant créer un mouvement vibratoire ou du bruit relationnel, ces mouvements interprétés d’une manière psychologique par le mental comme contraignants et destructeurs pour l’élan de communion vont être ainsi détournés par des biais cognitifs restant néanmoins souvent avantageux et flatteurs pour la personnalité mais maintenant la structure égotique en place avec la névrose compensatoire afin de favoriser une forme de survie sociale et d’intégration par une désintégration identitaire ce qui est un grand paradoxe et c’est pourtant un mécanisme à l’œuvre dans la majorité des relations humaines et créant beaucoup de souffrance et générant des rapports asymétriques couteux car souvent – inconsciemment – malheureusement inauthentiques.
Ainsi l’identité va être intégrée à des niveaux très bas susceptibles de générer un déni d’incarnation, un instinct fortement réprimé et une force vitale bricolée contrainte au oui malheureux compulsif, créant un auto consentement biaisé et une trahison à soi même, un assujettissement à des forces ou à des loyautés cachées, un emprisonnement limitatif dans un rôle modèle polarisé positif, des attitudes de séduction et de fascination déplacées, induisant une charge énergétique négative inconsciente et créant le fameux effet boomerang ou de bombe à retardement, d’une polarité d’apparence positive en réalité de contrepartie et de vibration négative occultée.
Résultat : un engrammage de la charge énergétique, l’énergie réprimée est alors déplacée et utilisée autrement et souvent comme un projectile pour réparer le déficit d’intégrité dans des situations non appropriées et générant à minima de la passivité agressive.
Exemple: Une personne accepte d’aller se balader avec une autre personne initiatrice du mouvement et le long du chemin marche très doucement et traine des pieds bruyamment, montrant une résistance, son corps manifestant factuellement le non et son énergie aussi, la personne à l’initiative de la balade commence à se sentir irritée par la radiation de la vibration reçue et pose la question suivante à la personne accompagnante : » Je ne te sens pas présent à l’instant et je ne nous sent pas vraiment en lien dans le moment, est ce que quelque chose t’as contrarié, tu n’avais pas envie de venir peut être? » Et l’autre répond énervée : « Bah si tu vois bien que je suis là mais que vas tu encore t’imaginer, tu es parano et dans le jugement, tu n’es jamais contente de toute façon »… ou encore peut tout aussi bien invalider la perception de l’autre par un silence représentatif ou un changement de sujet immédiat etc…Voici quelques exemples d’une attitude passive agressive liée à une charge énergétique négative déniée par une priorisation erronée de la vibration positive.
La personne n’a pourtant pas conscience que son corps exprime en décalage, le déficit identitaire qu’elle a créé en elle en disant oui à la place d’un non qui aurait été plus ajusté pour elle à ce moment là mais presque impossible à mettre en lumière à cause du conflit d’intérêt créé par la prédominance et la prescience du schéma moral psychoaffectif priorisant le rêve de l’autre et la relation idéalisée au détriment de l’intégrité, de l’identité et du réel de la situation; décalage souvent causé par des croyances de nature spirituelle.
Par la persistance d’engrammages religieux notamment où la honte et le sentiment de culpabilité sont utilisés comme régulateurs du comportement social, au détriment de l’attitude d’auto-responsabilisation de la conscience.
La croyance est souvent d’ailleurs utilisée comme un paravent au doute existentiel et la pensée magique comme principe de détournement de l’angoisse par l’assimilation à une conscience collective ou égrégorique formalisante et créatrice d’une illusion généralisée fédératrice, canalisant l’inconscience par l’apposition d’un champ morphique voilant le réel et barrant aussi l’accès à la conscience supérieure et à une réelle objectivité.
Résultat : la persistance de l’énergie et la création d’un engramme et d’une charge énergétique qui va continuer son cheminement dans les corps pour aller s’exprimer sous une autre forme à un autre moment – en décalage – alors s’en suit un jeu psychologique, une guerre des nerfs où la personne non consciente de son ressenti profond va projeter sur l’autre la charge négative dont elle n’a pas prit conscience en elle même au départ ou alors si la charge est réprimée en totalité, elle va parfois développer de la pathologie physique ou mentale mais quelque part le déséquilibre imprimé va s’exprimer pour se libérer dans l’espace que la personne en ai conscience et le veuille ou non.
En conséquence l’autre agit souvent comme un détonateur et un révélateur de l’énergie négative non consciente de la personne qui n’a pas conscientisé son non consentement, entrainant des joutes collusoires. La personne va ainsi en attirant l’attention par son comportement récupérer l’énergie qu’elle a perdue en se créant de la frustration par un défaut de positionnement identitaire.
Dans le jeu de nature collusoire, la personnalité la moins individuée des deux, va matérialiser une fausse posture identitaire compensatoire déplacée, par un conflit oppositionnel systématique de nature immature cherchant la réparation par l’extérieur; souvent par l’expression d’une posture de provocation envers une personne ou un système choisi pour incarner l’introjection d’une figure d’autorité abusive face à laquelle elle va reproduire l’espace de la scène traumatique originelle pour parvenir à la résoudre et s’individuer en marquant une distance par une présence débalancée souvent excessive et par un contre pied vibratoire ou une désinhibition du comportement, masquant l’inhibition de sa propre identité immature, afin de réparer l’outrage fait à soi même et déplacé à des situations supports de la réparation.
Certains mécanismes en apparence positifs mais de charge négative peuvent être employés en ce sens tels que l’humour par exemple souvent dévoyé:
* L’humour déplacé provocateur révélateur de vérité compensatoire, l’humour est utilisé de façon déplacé pour rétablir ou exposer une vérité inacceptable ou non exprimable comme telle.
* L’humour fédérateur comme stratégie d’évitement de soi et de sa propre identité, l’humour est utilisé pour contourner un défaut de positionnement et conserver l’harmonie.
* L’humour désamorçage, l’humour est utilisé pour évacuer une tension nerveuse et pour le masquage d’un malaise ou pour limiter l’intimité.
* L’humour dysharmonique, l’humour est utilisé par l’inspiration des forces occultes comme moyen d’attaquer passivement et de prendre de l’énergie.
* L’humour disqualifiant dominateur, l’humour est utilisé comme une force énergétique dominatrice contraignante cachant une agressivité réelle.
Et dans la même logique il existe certains mécanismes d’apparence négative et qui sont en réalité chargé positivement:
* La colère vibratoire initiatrice de changement et d’action.
* Le non éclairé et honnête, fidèle à la vibration.
* L’exercice de l’esprit critique au service du discernement.
* La posture identitaire garante et protectrice de l’altérité.
* La vérité qui peut être amère mais libératrice.
* La rupture, respectueuse du consentement.
* La distance saine due à l’instantanéité de l’écoute de l’intuition etc…
Pour résumer ces situations souffrantes sont souvent une expression malheureuse d’une fusion confusionnelle de nature sympathique par effet de syntonie relationnelle, essayant maladroitement de gommer la barrière de l’altérité, au détriment de l’identité et qui va créer un manque d’intégrité et l’accumulation d’une charge négative maintenue sous le contrôle du désir d’harmonie mais créant en finalité un certain chaos.
La charge émotionnelle non exprimée va donc s’engrammer et voyager dans le corps pour aller se traduire radicalement d’une manière dramatique dans une situation servant de support pour réparer énergiquement l’outrage identitaire et récupérer l’énergie du non et du consentement au profit de la personne qui s’est fait subir le lèse majesté.
Autre exemple : Une situation de rupture avec une impression de soudaineté, la personne est partie brutalement alors que le jour d’avant elle disait se sentir bien et vouloir s’engager dans la relation et être satisfaite mais qui pourtant amorce un virage radical.
Dans cette situation l’énergie du non est parvenue avec un temps de décalage à la conscience et dans le corps avec les intérêts, créant un choc vibratoire important induisant un nouveau positionnement plus ajusté.
La frustration est ainsi conscientisée et vue comme telle provoquant une mise en action directe et une sortie de schéma occulté précédemment.
Il existe aussi une double dualité présente dans les structures de nature systémique et ces paradoxes peuvent s’exprimer par exemple par l’archétype du personnage de la « bonne personne » ou de la personne gentille et altruiste mais dont l’énergie trahie et révèle au niveau vibratoire, un décalage et manifeste un opposé inconscient: « Je suis toujours gentil mais les personnes m’agressent » dans ce cas il peut exister une vibration radiante liée à de la co-dépendance et un câblage avec des énergies vampiriques et des chevauchements ou des proximités par des liens avec des forces de nature occulte, profitant de certaines failles par le statut de victime et susceptibles de provoquer par mécanisme de défense de l’opposition et du rejet relationnel.
Ou encore dans l’archétype et le masque de la personne froide ou dans un faux sentiment d’identité mais avec une aura accueillante et magnétique, malgré la posture du caractère qui cherche une compensation énergétique et à rebalancer la porosité de son aura pour rétablir un équilibre entre le donner et le recevoir qui n’est pas encore effectif.
Ou encore le sourire empoisonné de la bonne relation de nature mauvaise où l’énergie et la vibration parlent pour nous et crée du désordre subtil.
Pour sortir de ces situations problématiques drainantes énergétiquement il est important de parvenir à discerner la différence entre l’identité superficielle et l’identité réelle.
L’identité superficielle étant une posture impulsive, imprévisible et compensatoire de nature immature et infantile déplacée et dissonante; se traduisant souvent par une attitude de rébellion provocatrice contre la figure de puissance et d’ordre y comprit en soi envers son propre esprit et l’ordre divin.
L’identité réelle reposant quant à elle sur une présence totale à la réalité de l’information vibratoire objective et sur la responsabilisation de la réception et de l’émission vibratoire des énergies radiantes y comprit par la maturation du corps émotionnel ajusté et réintégré dans le processus conscient et mit sous l’égide du commandement du supra-mental et de la conscience supérieure.
Mais aussi :
* La transparence envers soi, l’autre et la vibration.
* Le relevé d’information objectif et direct.
* Le respect instantané et catégorique de l’intuition.
* La conscientisation et la libération de l’assujettissement à la programmation subjective.
* La rupture avec le schéma parental psychoaffectif déficient auto-saboteur.
* La création et la refonte de la structure parentale intérieure saine et solide.
* La maturation de la part infantile vers l’être abouti afin de sortir du sentiment d’insécurité et de la dépendance affective.
* L’autonomie et la sécurisation intérieure.
* La fin du doute pour sortir de la honte et de la déresponsabilisation vers la conscience souveraine et l’autorégulation du comportement.
* La réconciliation avec l’esprit créateur et la récupération de l’âme terrestre pour apurer la charge mémorielle et ré-ouvrir la communication télépathique avec les canaux universels.
* L’intégration et la descente de l’esprit et la réactivation de la bande passante de l’âme universelle ou de la sagesse universelle dans la matière.
* La fin du déficit énergétique et de la perte des fruits de l’expérience par l’ingérence d’impression de la mémoire morte parasitaire et de l’assujettissement au voile de l’oubli.
* La réintégration de la mémoire vive universelle à des fins évolutives.
* La fin des identifications, des pactes et des contrats d’alliances caducs et involutifs.
* La mise en lumière de tous les principes de vol par la captation et la manipulation énergétique inconsciente non éthique à des fins uniquement personnelles.
* La conscientisation du principe de réification et de l’entitisation subjective de la lumière.
* La fin de l’assujettissement à la forme.
* La libération du oui dans le consentement véritable par la présence intégrale alignée et centrique dans le corps.
* La remise en question par l’opposition objective aux mouvements d’âme pour ne plus créer de re-sentiment, ne pas céder à l’impression et ouvrir le discernement.
* Le savoir jouer avec les principes de polarité, de double polarité et le karma involutif terrestre pour ne pas créer de la dette énergétique.
* La sortie de la limitation des programmes polarisés pour aller vers l’être intégral alchimisé sous l’égide de la contrepartie divine.
* En finir avec l’induction psychologique et magnétique occulte et l’influence des ondes scalaires horizontalités.
* Comprendre et saisir la vibration au delà de l’intellect.
* Se remettre au cœur de son centre vibral pour remettre la créativité au service de la création.
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Atemporelle